Droit à la déconnexion : poser un cadre clair pour protéger ses équipes

Le droit à la déconnexion existe dans la loi. Il est censé garantir à chacun la possibilité de couper, de décrocher, une fois la journée de travail terminée. En théorie, tout le monde s’accorde à dire que c’est essentiel. Mais dans la réalité, les sollicitations hors horaires restent fréquentes, parfois même banales.

Le droit à la déconnexion existe dans la loi. Il est censé garantir à chacun la possibilité de couper, de décrocher, une fois la journée de travail terminée. En théorie, tout le monde s’accorde à dire que c’est essentiel. Mais dans la réalité, les sollicitations hors horaires restent fréquentes, parfois même banales.

Un message tardif, une notification le week-end, une pression implicite à répondre vite : ces petits gestes du quotidien créent un climat de tension permanent. Peu à peu, la frontière entre la vie professionnelle et la vie personnelle se brouille. Et sans le vouloir, l’entreprise entretient un système qui fatigue et démotive.

Le problème ne vient pas seulement des individus. Il vient aussi des outils. Quand la communication passe par des canaux personnels, comme des messageries instantanées ou des groupes informels, il devient très difficile de mettre une limite.

C’est pourquoi un outil dédié à la communication interne change la donne. Il permet de créer un cadre : des horaires de publication, des notifications maîtrisées, des messages planifiés. L’entreprise peut ainsi organiser sa communication, tout en respectant les temps de repos.

Ce n’est pas une simple mesure de confort. C’est une manière concrète de montrer que le bien-être des équipes est pris au sérieux. Et un salarié respecté dans son équilibre, c’est un salarié plus engagé, plus stable, plus durable.

Tom Chappaz
Tom Chappaz
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